jeudi 28 janvier 2010

Max Brisson invite les habitant de Saint Esprit à s'exprimer sur la ligne LGV

Max Brisson se lance dans la mêlée sur la LGV. Le premier adjoint au maire et conseiller général de Biarritz-Ouest pense qu'il « est grand temps que les riverains de la ligne SNCF actuelle se réveillent » et organise un débat à leur intention, le mercredi 3 février à partir de 18 h 30 au Café du Trinquet à la Négresse.

« Je souhaite leur dire qu'un rapport des forces est en train de se constituer et qu'ils doivent faire entendre leurs voix. Car contrairement à ce qu'affirment les adversaires d'une ligne nouvelle en Pays basque, la voie existante, ce n'est pas une solution mais bien un problème. »

Pour Max Brisson ce n'est pas « 15 000 personnes dont beaucoup venues des Landes, du Lot-et-Garonne et d'Espagne, qui risquent de se retrouver dans la rue la prochaine fois, si cette solution est retenue, mais 100 000. De Boucau à Hendaye, en passant par Biarritz, Bidart et Guéthary, la ligne actuelle passe dans les zones les plus densément peuplées. »

Max Brisson n'est donc pas d'accord avec Michel Hiriart et Odile de Corral quand ils indiquent comme réponse à l'inévitable montée du trafic ferroviaire que « la solution réside dans l'utilisation de la voie existante ». Il doute également des prises de position des Verts et des nationalistes basques qui « en s'opposant à la LGV condamnent finalement la seule alternative crédible à la route et un moyen de se rapprocher de nos voisins. La voie actuelle est une chance, mais doit servir aux échanges régionaux de voyageurs, dans le cadre de la création d'un eurocité express de Bilbao à Bordeaux et de trains-trams cadencés entre Saint-Sébastien et le Sud des Landes, via Bayonne, Biarritz et Saint-Jean-de-Luz ».

« Affirmation simpliste »

Dans ce contexte, Max Brisson estime qu'il n'est « pas acceptable et même insultant pour les milliers de personnes qui vivent le long de la ligne actuelle dans des quartiers populaires, comme Saint-Esprit à Bayonne, La Négresse à Biarritz, de supporter 300 trains par jour. Dans tous les cas, comme élu biarrot, je m'opposerai à cette affirmation simpliste consistant à dire : la solution c'est la voie existante. Non seulement ce n'est pas la solution, mais c'est au contraire le problème car la hausse du trafic marchandise n'est pas possible sur cette voie urbaine le long de laquelle s'étend la concentration littorale qui abrite l'essentiel de la population du Pays basque. »

Pour ceux qui veulent approfondir, l'élu biarrot a développé sur son blog maxbrissonhautet fort.com ses arguments. Le débat continue.

Max Brisson invite les habitant de Saint Esprit à s'exprimer sur la ligne LGV

Max Brisson se lance dans la mêlée sur la LGV. Le premier adjoint au maire et conseiller général de Biarritz-Ouest pense qu'il « est grand temps que les riverains de la ligne SNCF actuelle se réveillent » et organise un débat à leur intention, le mercredi 3 février à partir de 18 h 30 au Café du Trinquet à la Négresse.

« Je souhaite leur dire qu'un rapport des forces est en train de se constituer et qu'ils doivent faire entendre leurs voix. Car contrairement à ce qu'affirment les adversaires d'une ligne nouvelle en Pays basque, la voie existante, ce n'est pas une solution mais bien un problème. »

Pour Max Brisson ce n'est pas « 15 000 personnes dont beaucoup venues des Landes, du Lot-et-Garonne et d'Espagne, qui risquent de se retrouver dans la rue la prochaine fois, si cette solution est retenue, mais 100 000. De Boucau à Hendaye, en passant par Biarritz, Bidart et Guéthary, la ligne actuelle passe dans les zones les plus densément peuplées. »

Max Brisson n'est donc pas d'accord avec Michel Hiriart et Odile de Corral quand ils indiquent comme réponse à l'inévitable montée du trafic ferroviaire que « la solution réside dans l'utilisation de la voie existante ». Il doute également des prises de position des Verts et des nationalistes basques qui « en s'opposant à la LGV condamnent finalement la seule alternative crédible à la route et un moyen de se rapprocher de nos voisins. La voie actuelle est une chance, mais doit servir aux échanges régionaux de voyageurs, dans le cadre de la création d'un eurocité express de Bilbao à Bordeaux et de trains-trams cadencés entre Saint-Sébastien et le Sud des Landes, via Bayonne, Biarritz et Saint-Jean-de-Luz ».

« Affirmation simpliste »

Dans ce contexte, Max Brisson estime qu'il n'est « pas acceptable et même insultant pour les milliers de personnes qui vivent le long de la ligne actuelle dans des quartiers populaires, comme Saint-Esprit à Bayonne, La Négresse à Biarritz, de supporter 300 trains par jour. Dans tous les cas, comme élu biarrot, je m'opposerai à cette affirmation simpliste consistant à dire : la solution c'est la voie existante. Non seulement ce n'est pas la solution, mais c'est au contraire le problème car la hausse du trafic marchandise n'est pas possible sur cette voie urbaine le long de laquelle s'étend la concentration littorale qui abrite l'essentiel de la population du Pays basque. »

Pour ceux qui veulent approfondir, l'élu biarrot a développé sur son blog maxbrissonhautet fort.com ses arguments. Le débat continue.

mercredi 20 janvier 2010

Visualisez en détail le parcours du décrochement de la LGV pour accéder à la Gare de Bayonne

Pour visualiser le détail des deux lignes du décrochement pour la Gare de Bayonne:

http://nonlgv-ezaht-paysbasque.fr/carte-lgv.htm

dimanche 17 janvier 2010

Jean GRENET annonce le quadruplement du traffic à Bayonne d'ici 2020

Au cours des voeux de la Communauté d'agglomération Bayonne-Anglet-Biarritz, son président Jean GRENET s'est réjoui que Bayonne soit érigée au rang de gare TGV du Pays Basque.
"Il s'agit pour Bayonne d'aménager tout un quartier avant 2020 pour accueillir les 4 millions de passagers qui devraient voyager annuellement sur la ligne Paris-Madrid", a-t-il précisé. Actuellement, la gare de Bayonne compte un million de voyageurs par an.
Le président de la CABAB a souligné qu'il était prévu de créer, sur la rive droite de l'Adour, un pôle multimodal et un quartier résidentiel en bordure du fleuve. Les études sont en cours.

mercredi 13 janvier 2010

Contrairement à Mont-de-Marsan, Bayonne ne bénéficiera pas d'une nouvelle gare

Dossier special l'Express . Le TGV va tout changer.

Contrairement à Mont-de-Marsan, Bayonne ne bénéficiera pas d'une nouvelle gare. C'est donc par le biais de l'édifice actuel que les TGV feront leur entrée dans le port aquitain. La desserte se fera en crochet: au nord, les TGV sortiront de la voie nouvelle à Labenne et passeront sur les voies existantes par Ondres, Tarnos puis Boucau, avant d'arriver à Bayonne. "Puis, dans chaque sens, neuf d'entre eux continueront leur trajet sur les voies existantes jusqu'à Hendaye, explique Victor Pachon, du Collectif des associations de défense de l'environnement (Cade).

Tandis que trois autres devraient rejoindre la ligne nouvelle, au sud de la ville." Pour accueillir les 2,5 millions de voyageurs attendus chaque année à l'horizon 2020 (contre 1 million à l'heure actuelle), la gare de Bayonne devrait cependant bénéficier d'une sérieuse rénovation, tout comme le quartier attenant. Jean Grenet, le député maire (UMP) de la ville, l'assure: "La gare sera agrandie, rénovée et desservie par un grand boulevard urbain à quatre voies venant du giratoire Grenet"... du nom de son père, qui le précéda à l'hôtel de ville.

lundi 11 janvier 2010

La gare de la discorde

07/01/2010

Le journal du Pays Basque

«Jusqu'au dernier moment, on ne baissera pas les bras» : c'est toujours déterminés que les conseillers communautaires Martine Bisauta, Jakes Abeberry, Georges Daubagna, Michel Poueyts et Bernard Causse ont réitéré hier leur farouche opposition à la LGV - contraire à la position majoritaire de la CABAB - et souligné les contradictions qu'ils relèvent dans le projet, notamment celle du «crochet» de la gare de Bayonne.

Les conseillers demandent comment la CABAB, qui exige une gare à Bayonne sur la ligne actuelle, peut recommander à toutes les autres collectivités du Pays Basque “la création d’une ligne nouvelle dont elle s’exonérerait ?” et comment, tout en soutenant le principe du gain de temps de la grande vitesse, elle veut en même temps “desservir la gare de Bayonne par un ‘crochet’ spécifique qui en annulerait les avantages” ?

Dindon de la farce

«Ce qu'on reproche le plus au vote de la CABAB, c'est le rôle que Réseaux Ferrés de France lui fait jouer, celui de `brise-front' des élus du Pays Basque» a déclaré Jakes Abeberry. «La CABAB joue contre elle-même. Elle tourne le dos à l'ensemble des élus du Pays Basque. Il paraît incroyable qu'on fasse un crochet pour arriver à Bayonne. Nous sommes convaincus qu'il apparaîtra dans quelque temps que la Communauté d'agglomération a été le dindon de la farce dans cette affaire. Le TGV ne s'arrêtera même pas à Bayonne, à part un ou deux trains. On sera comme les vaches, on regardera passer le train... Ce maintien de la gare à Bayonne fait qu'il y aura effectivement une voie nouvelle, et que les trains ne s'arrêteront pas. La CABAB joue contre le Pays Basque et contre elle-même».

Débat de fond

Si les conseillers ont dénoncé le «désastre écologique» et l' «hérésie financière» que représente à leurs yeux la LGV, ils ont tenu à placer le débat sur le terrain de la société : «Aller toujours plus vite, pour aller où, quel choix pour la société ?» a interrogé Georges Daubagna, épaulé dans ce sens par Martine Bisauta : «Il ne s'agit pas d'aller aussi vite que possible, mais aussi vite que nécessaire. Quoiqu'il arrive, les gens pressés continueront de prendre l'avion. Et on élargit l'A63 et l'aéroport de Fontarrabie. On nous dit `Il faudra trois heures pour aller à Paris'. Ce ne sera pas le cas s'il faut aller chercher le train à Dax ou de l'autre côté de la Bidassoa. Si un train passe à Bayonne au moment où vous en avez besoin, ce sera un coup de chance. La gare à Bayonne contrarie complètement la logique de tout le projet. C'est un vrai débat de fond pour les citoyens du Pays Basque de savoir vers quel avenir on se tourne».

Jean Grenet a déclaré hier n'avoir «pas de commentaire à faire sur les déclarations des conseillers communautaires», ajoutant : «Je respecte tout à fait leur point de vue et je ne le partage pas». Interrogé par le magazine Le Point en novembre dernier, le maire de Bayonne et président de la CABAB avait confié : «Pour Bayonne, 2 020 rimera avec LGV. La gare et son quartier auront été totalement modifiés. Les réaménagements de la place de la République et de la rive droite de l'Adour - avec le percement d'un grand boulevard végétalisé à deux fois deux voies - seront terminés. Cette requalification urbaine s'accompagnera d'un grand projet immobilier avec la construction de logements sur les bords de l'Adour et de bureaux côté voies ferrées».

Un avenir qui laisse perplexes les cinq conseillers communautaires : «Il y a fort à parier qu'RFF continue son intox, que sa posture actuelle n'est liée qu'à l'intérêt de ne pas perdre le soutien de tous les élus, mais que dans l'avenir cette position soit modifiée : soit pour une gare nouvelle en Pays Basque (au mieux), soit pour l'évitement complet du territoire au profit des Landes et du Pays Basque Sud».

LGV : la gare plus près que jamais de Bayonne

Le Journal du Pays Basque

29/07/2009

Goizeder TABERNA

Bayonne centre-ville est l'hypothèse privilégiée pour la gare du Pays Basque par la LGV. Jean Grenet l'a annoncé lundi au Conseil communautaire de la CABAB ; Réseau Ferré de France (RFF) l'a confirmé hier. Il s'agit d'une possibilité étudiée dans le cadre du dispositif de concertation. La localisation de cette gare sera définie en septembre par le comité de pilotage.

Auparavant, un groupe de travail devra se réunir à la fin du mois d'août. «La dernière réunion n'avait pas pu se faire comme convenu, du fait de l'intervention de Michèle Alliot-Marie», explique Frédéric Perrière, directeur des études GPSO de Réseau Ferré de France.

Parmi les options évoquées, celle de Bayonne centre entraîne le plus de consensus dans ce groupe de travail formé de membres de RFF, d'élus et d'acteurs locaux tels que la CCI du Pays Basque. Le maire de Bayonne, Jean Grenet, n'a en effet jamais caché sa volonté d'accueillir dans sa ville les voyageurs qui empruntent la LGV. Il est allé jusqu'à placer la résolution de ce problème comme condition à la participation de la CABAB dans le financement du tronçon Bordeaux-Irun. Question qui devrait avancer grâce à cette décision.

Cependant, l'utilisation de la gare de Bayonne et son extension ne sont pas les seules hypothèses étudiées. Le groupe de travail réfléchit également sur l'aménagement d'une gare au niveau de l'échangeur de l'autoroute A63, dans le secteur d'Ustaritz, à Mouguerre et dans le Seignanx, parmi d'autres possibilités.

Le fret : pas encore mûr

Il est question dans cette étude de définir le lieu d'une gare «en crochet» qui serait reliée à la Ligne à grande vitesse. Le tracé de la nouvelle LGV ne dépend donc pas entièrement de ce paramètre, comme l'explique Frédérique Perrière. En revanche, il est certain que le fret ne va pas transiter par le centre de Bayonne et que cet aspect du dossier «n'est pas encore mûr».

Nouveau tracé: quelles conséquences pour les riverains bayonnais der la SNCF ?

La réunion officielle aura lieu le 11 janvier, mais voici la carte des fuseaux retenus. Le fuseau choisi est en trait plus gras : ce sont les passages les plus à l'ouest (limite Bassussary-Arcangues, puis Urrugne).
=> Voir la carte
http://www.voiesnouvellestgv.webou.net/document/fuseaujanv10.pdf


C'est un fichier en format pdf, vous pouvez utiliser la fonction "loupe" pour zoomer et voir plus précisément certaines zones. Il est assez long à charger, il faut de la patience...

Comme vous pouvez le constater le TGV va donc "décrocher" pour s'engager sur la signe existante pour atteindre la gare de Bayonne.

Les riverains Bayonnais de la ligne SNCF ne devraient donc pas constater un grand changement. Les TGV, TER et trains de marchandises pour le Port de Bayonne continuerons de passer sur cette ligne, mais certainement en plus grand nombre à l'avenir compte tenu des prévisions d'augmentation de trafic.

Notre objectif est d'améliorer la situation actuelle en réduisant les nuisances et en assurant d'une bonne intégration de la nouvelle Gare dans Bayonne St Esprit.

lundi 4 janvier 2010

Quel financement pour la LGV

TRANSPORTS. Quelle sera la part du département des Pyrénées-Atlantiques dans le financement du tronçon Tours-Bordeaux ? Les négociations avec l'État sont en cours
LGV, le grand marchandage

Même si les élus du Conseil général concernés par la négociation s'en défendent, cela ressemble quand même à un grand marchandage. Le Conseil général des Pyrénées-Atlantiques est actuellement en phase de négociation avec l'État afin de déterminer quelle sera la part du Département dans le financement de la partie Tours-Bordeaux de la future Ligne à grande vitesse.

....« Dans l'intérêt du département, il faut absolument que la LGV arrive à Pau et à Bayonne », souligne pour sa part Jean-Jacques Lasserre, conseiller général Modem de Bidache et patron du groupe Forces 64. Termes quasi identiques employés par Max Brisson, patron du groupe UMP et conseiller général de Biarritz-Ouest, qui ajoute : « Rompre aujourd'hui les négociations, c'est prendre le risque que la LGV arrive à Toulouse mais peut-être pas à Bayonne et que Pau soit oubliée ». Bref, sur les enjeux et la volonté de mettre la main à la poche, toutes les forces politiques sont d'accord.....

Qu'obtiendra, in fine, le Département ? Difficile à dire. Et jusqu'où le Conseil général est-il prêt à aller dans ce bras de fer, sachant qu'à l'instar des autres collectivités territoriales concernées, il n'a pas vraiment le choix ? Quelle est sa véritable marge de manoeuvre ? Les réponses à ces questions devraient être assez rapides. Les négociations se poursuivent.

Selon l'État, la signature d'un protocole financier est désormais urgente. Auparavant, le Conseil général devra à nouveau délibérer. Probablement en tout début d'année 2010. Une nouvelle délibération cruciale, dans laquelle le Conseil général devra prévoir les garde-fous nécessaires. Au cas où l'État ne tiendrait pas ses promesses...
Auteur : Olivier Plagnol

LGV : François Fillon confirme la voie nouvelle

Publié le 08.12.09 par la CABAB

Publié le 08.12.09 par la CABAB


« Le courrier du Premier ministre apporte de la clarté dans le dossier de Ligne à Grande Vitesse » a précisé Jean Grenet en rendant public le courrier que lui a adressé le Premier ministre, François Fillon, le 4 décembre dernier. « J’avais fait part au Premier ministre de mes préoccupations. J’attendais de sa part une clarification. Car les relations entre élus se crispaient, l’ambiance devenait délétère », a indiqué Jean Grenet. Ainsi, pour la deuxième fois dans l’histoire de ce dossier, François Fillon est intervenu pour confirmer l’engagement de l’Etat en faveur de la ligne nouvelle.

Dans son courrier daté du 4 décembre, le Premier Ministre a rappellé la nature d’un projet inscrit dans celui « plus global Sud Europe-Atlantique qui revêt un intérêt majeur pour le développement du Sud-Ouest de la France mais également pour les échanges entre la France et l’Espagne s’agissant d’un projet européen structurant inscrit dans les Réseaux transeuropéens de transport (RTE-T) par l’Union européenne ».


Et le Premier Ministre de poursuivre : « La France s’est par ailleurs engagée envers l’Espagne de manière réitérée et au plus haut niveau de l’Etat, à apporter la grande vitesse à la frontière franco-espagnole sur le corridor Atlantique à l’horizon 2020. Une section internationale entre Dax et Vitoria a ainsi été définie entre nos deux pays pour une avancée coordonnée des projets ».

François Fillon a enfin confirmé que « les études, ainsi que les concertations conduites par RFF relatives à la définition du fuseau de la nouvelle ligne entre Bordeaux et l’Espagne seront poursuivies afin de préparer la mise à l’enquête publique du projet à l’horizon 2011 ». « Cette ligne nouvelle permettra de répondre, le moment venu, à la saturation de la ligne existante » a estimé le Premier ministre.

François Fillon a par ailleurs insisté sur son souhait que RFF définisse la meilleure intégration possible de la ligne nouvelle dans les territoires traversés. « En particulier, la traversée du Pays basque par la ligne nouvelle devra tenir le plus grand compte de l’environnement, marqué par une forte urbanisation, la présence d’un relief accentué, de paysages remarquables, de vallées inondables et écologiquement sensibles. Les solutions en souterrain dans les sections les plus sensibles devront donc être privilégiées ».


Jean Grenet appelle désormais l’ensemble des élus à œuvrer dans le même sens pour « réussir la meilleure insertion environnementale de la LGV dans sa traversée du Pays basque ».